Une fois n’est pas coutume, j’ai décidé de reproduire une lettre qu’un usager de la ligne C du RER vient de m'adresser.

Bien qu’il ait souhaité me faire part de sa colère (légitime !) de manière anonyme, je souhaitais l’assurer, comme tous les usagers concernés, de tout l’intérêt que je porte à sa démarche et à ses préoccupations.

Par ses arguments, cet habitant illustre le ras-le-bol de celles et ceux qui empruntent cette ligne quotidiennement. Ces dysfonctionnements et l'absence d'informations sont insupportables. C’est une situation sur laquelle je n’ai de cesse d’appeler l’attention de la direction de la SNCF, du ministère de tutelle et Île-de-France Mobilités (ex STIF), notamment concernant les conséquences des travaux - certes nécessaires - qui sont réalisés et qui se poursuivront jusqu’en 2025. Je ne manquerai d’ailleurs pas de les saisir sur ce témoignage.

Pour les salariés du groupe de chimie fine ISOCHEM, dont le siège se situe à Vert-le-Petit, c’est une semaine décisive.

En effet, les repreneurs de la société, qui a été placée en redressement judiciaire, avaient jusqu’au 18 septembre pour se faire connaître.

Sollicité par votre député en juillet dernier, le ministre de l’Economie a assuré de sa plus grande vigilance pour préserver l’emploi et l’activité de ce secteur.

« La Région n’a pas d’autre choix que de remplacer les 6 postes actuellement vacants, dont celui du chef cuisinier, au sein du lycée Geoffroy Saint-Hilaire pour assurer le service de restauration scolaire. Il est hors de question d’accepter que, faute de personnels, quelques 2 000 élèves soient privés de demi-pension ! »

Le message de Franck MARLIN adressé au Conseil régional Île-de-France est sans ambiguïté.

Dès qu’il a eu connaissance des difficultés rencontrées par l’établissement, ce vendredi 1er septembre, le député de l’Essonne a en effet immédiatement alerté la Présidente de la Région ainsi que la Vice-présidente en charge des lycées. Une démarche qu’il a réitérée aujourd’hui.

Hier, le Président de la République, le Premier ministre et une dizaine de membres du gouvernement ont réuni des élus locaux au Sénat pour une première « conférence nationale des territoires ».

À cette occasion, l’exécutif a annoncé que les collectivités locales devront réaliser 13 milliards d'euros d'économies ces cinq prochaines années, au lieu de 10 milliards, alors qu’elles ont déjà dû subir une baisse drastique de leurs dotations de 9,5 milliards d'euros lors des trois dernières années du quinquennat Hollande. Une situation qui avait déjà obligé les communes à différer ou annuler des projets d’équipements attendus par leurs habitants et à réduire leurs services publics, tout en assumant des charges supplémentaires à l’exemple de la réforme des rythmes scolaires extrêmement coûteuse, stupide, injuste et discriminatoire entre les territoires, ou de nouvelles compétences comme le traitement des cartes d’identité, des passeports et, bientôt, des PACS, les cartes-grises…

Le Président Macron a également confirmé sa volonté d’exonérer d’ici trois ans "80 % des ménages" (en fait ceux ayant des revenus inférieurs 1666 € mensuels par part fiscale) de la taxe d’habitation, évoquant même la possibilité que cette exonération s’applique un jour à tous, avec l’attribution aux communes d’une partie de la CSG ou la CRDS qui, inévitablement, augmenteront encore.

Mais E. Macron est allé encore plus loin en annonçant qu’il fallait « engager une réduction du nombre des élus locaux ».

« Toutes ces mesures vont finalement dans le même sens : moins de proximité entre les collectivités et leurs habitants, éloigner les citoyens de leurs représentants » explique Franck MARLIN.

L’accès à internet haut et très haut débit est un dossier sur lequel votre député est mobilisé depuis de très nombreuses années afin de lutter contre les inégalités d’accès aux nouvelles technologies dans notre département. Car encore aujourd’hui, nombre d’habitants de l’Essonne du Sud n’ont qu’une connexion à un débit inférieur ou égal à 2 méga, voire pour certains, situés en "zone blanche", aucun accès à l'ADSL. Mais d’ici trois ans, la situation aura bien changé.

En effet, à l’horizon 2020, grâce au Conseil départemental de l’Essonne, à la Région, aux communautés de communes et d'agglomération, et au syndicat mixte "Essonne numérique" créé l’an passé, toutes les communes du département seront couvertes par la fibre.

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