Depuis des années, la construction d’un nouveau commissariat à Étampes figure au chapitre des priorités communales. Faisant suite aux interventions de Franck MARLIN ainsi que des prises de positions et délibérations au sein du Conseil municipal, Nicolas SARKOZY, alors ministre de l’Intérieur, avait donné son accord de principe pour cette réalisation.

Des discussions avaient donc été engagées avec le Secrétariat Général pour l’Administration de la Police. En 2011, un secteur de la commune d’Étampes (Nord Bois Bourdon) avait même été retenu par les services du SGAP qui avaient consécutivement élaboré un programme fonctionnel. Il avait même été convenu que la Ville assume le financement de ce projet, notamment au niveau de l’acquisition foncière. Tout était sur les rails... jusqu’à l’arrivée du nouveau Président de la République et de sa majorité.

Pour les habitants de Brières-les-Scellés, Étampes, Morigny-Champigny et Ormoy-la-Rivière, communes couvertes par la police nationale, le changement a été immédiat ! La reconstruction du commissariat n’était plus d’actualité.

Depuis des années, la construction d’un nouveau commissariat à Étampes figure au chapitre des priorités communales. Faisant suite aux interventions de Franck MARLIN ainsi que des prises de positions et délibérations au sein du Conseil municipal, Nicolas SARKOZY, alors ministre de l’Intérieur, avait donné son accord de principe pour cette réalisation.

Des discussions avaient donc été engagées avec le Secrétariat Général pour l’Administration de la Police. En 2011, un secteur de la commune d’Étampes (Nord Bois Bourdon) avait même été retenu par les services du SGAP qui avaient consécutivement élaboré un programme fonctionnel. Il avait même été convenu que la Ville assume le financement de ce projet, notamment au niveau de l’acquisition foncière. Tout était sur les rails... jusqu’à l’arrivée du nouveau Président de la République et de sa majorité.

Pour les habitants de Brières-les-Scellés, Étampes, Morigny-Champigny et Ormoy-la-Rivière, communes couvertes par la police nationale, le changement a été immédiat ! La reconstruction du commissariat n’était plus d’actualité ni « une priorité de la programmation gouvernementale triennale », comme l’avaient confirmé successivement les ministres de l’Intérieur Manuel VALLS et Bernard CAZENEUVE.

Mais c’était sans compter sur la combattivité de Franck MARLIN et des élus locaux qui ont toujours refusé cette remise en cause et ce revirement.

Le commissariat d’Étampes figure en effet parmi les 10 plus insalubres de France, selon une étude menée par un syndicat de police en 2013.

« Nous avons aujourd’hui atteint un point de rupture. Les conditions d’hygiène et de sécurité des policiers sont indignes d’un service public. Je tiens à leur rendre hommage une nouvelle fois publiquement. Les conditions d’accueil et de confidentialité du public ne sont pas respectées.

« Nous ne pouvons plus tolérer cette situation qui met à mal l’image et le travail de celles et ceux qui représentent l’autorité républicaine et assurent la sécurité de leurs concitoyens. C’est d’ailleurs ce qui avait motivé une manifestation, l’an passé, devant les grilles du commissariat. »

La ténacité paie : le projet de nouveau à l’ordre du jour

Au lendemain des attentats qui ont endeuillé la France au mois de janvier 2015, et faisant suite aux déclarations du Premier ministre qui avait souligné « l’impérieuse nécessité de prendre toutes les mesures qui s’imposent pour lutter contre le terrorisme et assurer ainsi la sécurité des Françaises et des Français dans leur quotidien », Franck MARLIN avait appelé à la raison Manuel VALLS.

« La sécurité des Français ne peut se limiter qu’à des mesures d’exception, aussi majeures soit-elle. Vouloir assurer la sécurité des Français, c’est aussi la garantir en tout lieu et en tout instant. C’est aussi permettre à celles et ceux en charge de cette mission d’exercer leurs fonctions dans des conditions adaptées. C’est appréhender cet enjeu prioritaire de manière globale en confortant les moyens d’action spécifiques qui viennent d’être mis en œuvre par une politique d’accompagnement et d’investissement à la hauteur des besoins qui s’expriment au quotidien dans nos villes et nos campagnes » lui avait-il notamment écrit.

Un message fort qui, de toute évidence, a été pris en considération. 

Ce 10 mars, votre député a reçu la réponse du Premier ministre qui valide son argumentaire et demande donc à Bernard CAZENEUVE de procéder à l’examen du dossier.

« Je note un changement de ton de la part du Premier ministre, et une prise en considération des besoins qui sont exprimés à la fois par les forces de police et les habitants qui résident dans la circonscription de police, et que je porte sans relâche avec mes collègues. C’est une avancée. Mais ce premier pas doit déboucher sur des engagements concrets et pérennes. »

Fidèle à son engagement, et à la lecture de la réponse du Premier ministre, Franck MARLIN a donc immédiatement sollicité un rendez-vous avec le ministre de l’Intérieur « afin que nous puissions désormais avancer vite sur ce dossier ».

 

 

 


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