Il était beaucoup attendu de la 226e promotion des élèves gardiens de la paix en termes de renforts dans les commissariats du département… mais seuls 7 d’entre eux ont été affectés dans l’Essonne. Pourtant, ainsi que l’indiquent des représentants de syndicats de police, le nombre d’agents a diminué en un an de 3,17 %, soit 68 postes.

Votre député a donc interrogé le Ministre de l’intérieur.

Il était beaucoup attendu de la 226e promotion des élèves gardiens de la paix en termes de renforts dans les commissariats du département... mais seuls 7 d’entre eux ont été affectés dans l’Essonne. Pourtant, ainsi que l’indiquent des représentants de syndicats de police,, le nombre d’agents a diminué en un an de 3,17 %, soit 68 postes.

En revanche, sur la même période, sur 585 affectations à Paris, plus de 240 élèves ont rejoint la direction de l’ordre public et de la circulation (DOPC) de la Préfecture de Police pour la surveillance bâtiment ou des missions de circulation, alors que la Ville de Paris emploie déjà 1800 ASP prévus initialement pour remplir ces dernières.

L’Essonne compte aujourd’hui 1 policier pour 737 habitants, contre un ratio de 1 pour 360 à 460 dans des départements voisins. Le manque criant d’effectifs rend les conditions de travail et la lutte contre la délinquance extrêmement difficiles.

La côte d’alerte est donc atteinte et un renfort de 100 gardiens de la paix est urgemment attendu.

Votre député a donc interrogé le Ministre de l’intérieur afin de lui demander les mesures qu’il entend prendre pour répondre aux besoins recensés dans ce département.

 

 


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