Depuis plusieurs années, les exploitants agricoles doivent faire face à des contraintes environnementales qui n’ont de cesse de croître et de s’accumuler. Ils seront aussi bientôt impactés par la mise en œuvre prochaine du dispositif d’éco-taxe contre laquelle votre député a voté, tous les amendements visant à en exempter le monde agricole ayant été rejetés par le gouvernement et les députés de la majorité présidentielle.

Mais pour Franck MARLIN, le nouveau projet d’arrêté interministériel initié par la Ministre de l’écologie, qui risque de porter un coup grave aux exploitations de notre région, est la goutte d’eau qui fait déborder le vase.

En effet, dans le cadre de la maîtrise des pollutions aux particules, dont les seuils d’alerte et de crise ont déjà été diminués de moitié en 2011, le projet de la Ministre prévoit qu’en cas d’épisode de pollution et d’activation du niveau d’alerte, les exploitants agricoles se verront notamment imposer des mesures de report ou d’interdiction de travail du sol, de stockage et d’épandage de fertilisants.

À l’heure où le sentiment de défiance par rapport à Justice est de plus en plus fort chez les Français, la divulgation d’un « mur des cons » dans un local privé du Syndicat de la Magistrature n’a fait que renforcer la perception qu’ont les Français de leur Justice et de son indépendance.

« Cette affaire est consternante. Cela dépasse la simple action de potache, comme certains veulent bien le faire croire. Ce mur est proprement inacceptable »  explique Franck MARLIN.

Au lendemain d’attaques de deux établissements ainsi que de clients et de personnels à Lille et à Bordeaux, de multiples agressions homophobes dénombrées ces derniers jours, de menaces contre des journalistes, des élus, et après les dérapages observés au sein même de l’hémicycle, je condamne fermement cette radicalisation et ces actes plus qu’intolérables.

Je souhaite d’ailleurs que la Justice passe et que leurs auteurs soient condamnés avec la plus grande sévérité.

Rien ne peut justifier ni excuser les débordements de haine qui se multiplient.

Bientôt 120 km/h sur les autoroutes au lieu de 130, et 80 km/h sur les routes nationales et départementales, interdiction totale d’utiliser son téléphone portable même avec un dispositif kit main libre, interdiction des vitres teintées latérales à l’avant des véhicules : voilà quelques pistes de réflexion, dont la liste n’est pas exhaustive, proposées par les quatre commissions lors du dernier Conseil national de la sécurité routière (CNSR) et qui ont immédiatement suscité la colère de votre député.

« Quand on voit que ces groupes de travail proposent aussi de remplacer les petites plaques minéralogiques des véhicules deux-roues par des grandes plaques identiques aux automobiles pour permettre une meilleure identification lorsque les motards se font flasher, ou d’interdire les vitres teintées pour mieux identifier les conducteurs… on voit bien quel est le réel objectif recherché : faire payer toujours et encore plus les usagers de la route ! On nous parle même du système LAVIA, qui briderait automatiquement par GPS les véhicules en fonction de la vitesse autorisée sans possibilité d'accélérer face à une situation qui l'imposerait, d’installation de boîtes noires dans les véhicules,... C’en est trop ! Qu’on arrête de nous emmerder ! »

Alors que les initiatives parlementaires, propositions et déclarations des membres du Gouvernement en faveur d'une plus grande transparence se multiplient depuis le début de l'affaire Cahuzac et que le Premier ministre a annoncé la présentation un projet de loi en Conseil des ministres le 24 avril prochain, votre député a interpelé ce dernier ainsi que le Président de la République.

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