Madame, Monsieur, Chers Amis,

Une nouvelle année commence et à l’aube de 2017, c’est l’espoir qui doit dominer.

Les années qui viennent de s’écouler auront été extrêmement éprouvantes. Notre pays, les Françaises et les Français n’auront pas été épargnés par les difficultés. La France aura encore été touchée en 2016 par des attentats.

En prenant pour cible nos concitoyens, nos valeurs républicaines de Liberté, d’Egalité, de Fraternité et de Laïcité, nos racines, nous vivons des temps troublés, des temps de doute, des temps d’inquiétude pour l’avenir.

Chacun au fond de soi-même s’interroge sur ce qu’il va advenir, pour soi, sa famille, ceux que l’on aime, et aussi, plus généralement, pour ce qui fait la cohésion de notre pays depuis toujours.

Mais ce temps d’interrogation porte en lui aussi de l’espérance car chacun perçoit bien qu’il faut du changement, qu’il faut autre chose. Continuer comme avant n’est plus possible.

Ce vendredi, en séance plénière, le député-maire d’Étampes a défendu son amendement portant sur les crédits budgétaires alloués par le gouvernement pour l’installation de nouveaux radars, afin que les 17,25 millions d’euros prévus soient affectés aux collectivités territoriales et consacrés à l’entretien des routes. Une proposition soutenue par la « Ligue de défense des conducteurs »  et cosignée par 43 députés.

« Il faut renoncer au déploiement de nouveaux radars, au coût d’acquisition prohibitif, très chers en maintenance, et qui ont aussi montré leur inefficacité » a rappelé Franck MARLIN dans l’hémicycle.

55 députés ont, à ce jour, cosigné la proposition de loi de Franck MARLIN renforçant la présomption de légitime défense et la protection pénale des policiers.

Soit 34 de plus que le nombre évoqué dans l’article du journal Le Parisien dans son édition du mercredi 26 octobre.

Ce n’est pas un hasard si autant de députés soutiennent la démarche de Franck MARLIN.

Il y a en effet urgence à faire évoluer la législation. Les policiers doivent aujourd’hui faire face à des attaques toujours plus violentes, certaines commises avec la volonté de tuer comme à Viry-Châtillon.

Ce n’est pas un hasard non plus si le député-maire d’Etampes a déposé cette proposition de loi.

C’est une conviction et un engagement de longue date qui s’expriment. Depuis plusieurs années, Franck MARLIN insiste sur la nécessité de légiférer afin de « renforcer l’équipement de protection et harmoniser les conditions d’exercice de la légitime défense entre les forces de police et de gendarmerie » comme l’indiquait d’ailleurs sa « Lettre du député » en janvier 2015.

« Non à de nouveaux radars, oui à l’entretien des routes. Non au racket des usagers de la route, oui à leur sécurité ! ». Voilà, en résumé, la démarche qui anime votre député à l’occasion des discussions budgétaires qui débutent à l’Assemblée nationale.

En effet, dans le cadre du projet de loi de finances pour 2017, le gouvernement prévoit le déploiement de 364 nouveaux radars (radars fixes, discriminants, de vitesse moyenne et autonomes) pour un montant de 17,5 millions d’euros, auxquels s’ajouteront naturellement d’importants frais d’entretien, de maintenance, de réparation…

Fidèle à ses positions en matière de sécurité routière, privilégiant la prévention, la formation et l’amélioration du réseau routier, il vient de déposer un amendement visant à attribuer le montant de cette enveloppe budgétaire aux collectivités territoriales pour l’entretien des routes.

Cette nuit, à Paris, une centaine de policiers de l’Essonne, rejoints par 400 autres policiers venus de toute l’Île-de-France, ont exprimé leur mécontentement à l’entrée de l’hôpital Saint-Louis, où est toujours hospitalisé l’adjoint de sécurité grièvement blessé le 8 octobre dernier à Viry-Châtillon. Le cortège s’est ensuite rendu sur les Champs-Elysées où ils ont fait entendre leur « ras le bol général ».

Alors qu’une enquête de l’Inspection générale de la Police nationale vient d’être annoncée pour déterminer « qui a respecté ou qui n'a pas respecté ses obligations » parmi les policiers présents à cette manifestation et que la question des sanctions est déjà évoquée, Franck MARLIN a réitéré son soutien aux forces de l’ordre.

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