Après les violents incendies qui ont frappé plusieurs communes ces derniers jours, Franck MARLIN a proposé au Préfet de l’Essonne de réfléchir à des mesures préventives.

En effet, Les pompiers de l'Essonne ont eu fort à faire ces derniers jours. Conséquence d’une canicule et d’une sécheresse extrêmes, plusieurs incendies se sont déclarés dans les champs du Sud Essonne. De nombreux hectares de récoltes sont partis en fumée anéantissant ainsi des mois de travail des agriculteurs.

Il faut rendre hommage aux interventions des soldats du feu qui par leur maîtrise technique et leur courage ont évité des pertes qui auraient pu être encore plus lourdes pour les agriculteurs. Mais ils ont aussi protégé, parfois de justesse, les villages contigus aux cultures que les flammes menaçaient dangereusement. 

Franck MARLIN y associe également les gendarmes de l’Essonne qui ont été très présents et efficaces dans ces moments difficiles et souligne la remarquable solidarité entre agriculteurs qui a pleinement joué et l’action notable des maires et élus locaux qui ont été sur la brèche durant cette période.

Préserver le travail des agriculteurs, mais aussi la sécurité des habitants des villages c’est le souhait de Franck MARLIN pour l’avenir. Il n’est pas possible de considérer que l’épisode météorologique que nous venons de connaître ne se reproduira pas. Nous savons que les conséquences du changement climatique entraîneront une répétition de ce type de phénomène.

Il faut donc s’y préparer en tirant les leçons de cet épisode.

"Je n’ai jamais cru aux Yaka Faucon… Si l’on veut prévenir ce type de risques pour l’avenir, il ne faut pas imaginer qu’un seul acteur apportera une solution miracle. L’émotion passée, il faudrait se mettre tous autour d’une table pour élaborer ensemble des mesures préventives : pompiers, gendarmes, agriculteurs, maires, Etat… " préconise le Député.

C’est tout le sens d’un entretien téléphonique récent de Franck MARLIN avec Jean-Benoît ALBERTINI, Préfet de l’Essonne, et des très nombreux échanges qu’il a eus avec les agriculteurs et ses collègues élus.

Monsieur le Préfet a paru très ouvert à cette proposition, d’autant qu’il a déjà engagé une réflexion avec la Chambre régionale d’Agriculture. Monsieur le Préfet pourrait provoquer une réunion avant la fin de l’été.

"C’est une excellente idée. Il ne faut pas faire cela dans le moment de l’action, mais pas trop tard non plus pour ne pas oublier des détails importants. Nous avons déjà évoqué des pistes de réflexion, comme l’assolement en bordure de zone à risque, par exemple. Il me semble que nous sommes d’accord sur un point essentiel : les bonnes solutions reposeront sur la concertation et le bon sens, des mesures coercitives n’apporteront rien de constructif." conclut Franck MARLIN.

 

La procédure PRISALT a été présentée en son temps au cabinet de la Ministre des Transports.

Depuis, des essais ont été effectués en simulateur et en situation réelle par des pilotes de notre connaissance. Les résultats sont clairs : gain en matière de consommation de carburant et donc bénéfice environnemental / gain en matière de bruit et donc bénéfice pour les riverains.

Mais alors pourquoi PRISALT n’est elle pas encore adoptée partout en France ?

 

article du Républicain

Le Républicain en parle

Parce que l’Etat semble donc très frileux à l’idée de provoquer une crise avec les contrôleurs aériens dont la charge de travail serait accrue par la mise en place de PRISALT.

Pour preuve, les tests demandés par le Ministère à la DSNA et la DGAC et dont les conclusions sont très étonnantes tant l’écart est important entre leurs résultats et les nôtres. Ces conclusions déconseillent bien entendu d’adopter la procédure PRISALT et préconisent la mise en place d’un groupe de travail !…

Marie-Claire CHAMBARET, Johann MITTELHAUSSER, Jean SERRAT et Jean SUCCAB ont donc répondu à l'invitation de Franck MARLIN, le 18 juin pour réfléchir aux actions à mener.

Dès le 19 juin, une Question Ecrite a été déposée par Franck MARLIN pour rappeler au Ministre d'État, ministre de la Transition écologique et solidaire que la France ne se conforme pas au rapport de l’Organisation de l’Aviation Civile Internationale (OACI) qui préconise précisément de généraliser le plus possible les procédures d’atterrissage sans pallier, à moteurs réduits et les montées sans cassures. Des conditions de navigation qui ressemblent fort à la procédure PRISALT...

Voici le texte de la Question Ecrite : 

Franck MARLIN appelle l’attention de Monsieur le Ministre d'État, ministre de la Transition écologique et solidaire sur la position de la France vis-à-vis des recommandations de l’Organisation de l’Aviation Civile Internationale (OACI). La France est membre fondateur de l’OACI et son 6ème contributeur. Elle siège au Conseil de l’Organisation sans discontinuité depuis sa création, au titre de la catégorie des États d’importance majeure dans le transport aérien et 3 français ont été Secrétaire général de l’OACI sur une durée cumulée de 25 ans. Il y aurait donc une logique à ce que notre pays s’attache à mettre en œuvre les priorités mondiales définies par l’OACI en matière de navigation aérienne. Force est de constater que ce n’est pas le cas, notamment pour les opérations en descente continue (CDO) et les opérations en montée continue (CCO) qui se caractérisent par une réduction de la consommation de carburant, des émissions de GES et des niveaux de bruit comme indiqué dans le rapport sur la navigation aérienne de l’OACI– édition 2014. Monsieur Franck MARLIN souhaite connaître les motifs qui ont empêché jusqu’à ce jour la mise en pratique généralisée en France de ces préconisations. Elles sont pourtant simples à mettre en place, ne génèrent aucune charge financière, voire permettraient des économies en termes de carburant, et sont vertueuses en termes d’écologie et de pollution sonore. A l’heure où l’écologie semble être devenue une priorité de l’acte II du quinquennat du Président de la République, Monsieur Franck MARLIN souhaite savoir si le Gouvernement envisage de mettre enfin en place ces mesures de bon sens, selon quelles modalités et selon quel calendrier.

« Pourquoi l'État se défausse-t-il sur les communes et les élus locaux afin de
respecter des engagements pris unilatéralement, sans aucune concertation avec les
acteurs et responsables de terrain ?


Il est totalement scandaleux que l’État impose à la commune d’Etampes d’accueillir
un groupe de plus de 100 migrants dans des conditions indignes.


Nous devons nous opposer à leur venue, y compris dans l’intérêt des intéressés, car
il incombe à l’État d’assumer leur prise en charge.


Les locaux de l’ancien lycée Blériot, dédiés désormais à la pratique sportive, ne
sont en effet pas adaptés afin d’assurer ce type d’hébergement, les conditions
d’hygiène et de sécurité n’étant pas réunies.


Il est profondément choquant que l’État impose des normes draconiennes aux
collectivités territoriales et qu’il s’en dispense pour accueillir les migrants !


De nombreuses questions demeurent sans réponse : les anciens locaux du lycée ont
été reconvertis et sont dorénavant réservés aux associations caritatives, sportives et
culturelles : quid de la promiscuité entre les migrants et les adhérents ainsi que les
bénévoles ? Qu’en est-il des conditions d'hygiène et des normes d'encadrement
requises pour une telle opération ?


Il s’agit assurément d’un choix inconséquent et d’une décision irresponsable de la
part de l'État.


La réquisition constitue un acte totalitaire qui traduit le mépris que porte l'État
envers les élus et les citoyens : je m'y oppose donc radicalement aussi bien en ma
qualité de Député que de Maire honoraire d’Étampes.


L’État met gravement en danger le bien-vivre ensemble : ce n'est pas aux Étampois
et à la commune d’en subir les conséquences ! »

 

 

L’annonce de la Présidente de Région de financer la gratuité de quelques 75 parkings de banlieue d’Ile-de-France fait les titres de la presse ce matin. Et pour cause, le coût de l’abonnement mensuel de stationnement était fixé à 40€ hors forfait Navigo.

Une mesure prise en faveur du pouvoir d’achat des franciliens dont se félicite pleinement Franck MARLIN qui menait cette bataille depuis plusieurs mois auprès des services de la Région et d’Ile-de-France Mobilités.

Ce sont au total 27 000 places de stationnement qui vont être rendues gratuites aux détenteurs du Pass Navigo à compter de mars 2019. Une nécessité au vue de l’accroissement du nombre de voyageurs ces dernières années provenant de la grande couronne élargie et qui n’ont d’autre choix que d’emprunter leurs véhicules pour rejoindre les gares.

Les parkings n’étant pas toujours gratuits et le nombre de places souvent insuffisant, il y avait urgence à remettre à plat cette politique. D’autant que les nouvelles réglementations visant l’accès des véhicules à Paris entraînent un déport des automobilistes vers les transports en communs pour rejoindre la capitale.

En pleine mobilisation pour le pouvoir d’achat  des automobilistes, Franck MARLIN avait alors, par lettre du 23 août dernier adressée à la Présidente de la Région et d’Ile de France Mobilités demander, au sujet de la création du Parc Relais en gare d’Etampes, la gratuité du stationnement pour les détenteurs du Pass Navigo.

 

Ce site utilise des cookies et autres technologies similaires (réseaux sociaux).

En poursuivant votre navigation, vous acceptez ces cookies. En savoir plus.