Les mouvements sociaux, nés de la colère des français envers le Président Macron qui ne parvient pas à réformer de manière constructive notre système de retraites, s’installent dans la durée.

Les usagers sont pris en otages entre des syndicats prêts au bras de fer et un gouvernement qui laisse dangereusement pourrir la situation.

Les conséquences sur les déplacements des franciliens sont catastrophiques. Ainsi, Étampes et le Sud Essonne sont aujourd'hui coupés du reste de l’Île-de-France. L’axe structurant que représente la desserte RER depuis Étampes, vers Paris est totalement paralysé.

C’est pourquoi, Franck Marlin a sollicité la Présidente de la Région Île-de-France, Valérie Pécresse, pour la création d’urgence d'une liaison en bus Etampes/Paris/Etampes, ou, a minima, Etampes/Brétigny-sur-Orge/Étampes.

En 1995, alors Maire d’Étampes, Franck Marlin avait mis en place à l’occasion d’un mouvement social comparable, des navettes municipales Étampes/Paris/Étampes. Il a suggéré à Bernard Laplace, Maire d'Etampes, et à Johann Mittelhausser, Président de l'Agglomération, de s'inspirer de cette initiative et de mettre en œuvre rapidement ce service pour les usagers.

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