Le 10 décembre, lors de la conférence de presse organisée à Étampes, qui avait été marquée par la présence de près de 70 parlementaires et élus locaux pour manifester leur opposition à trois projets menaçant l’Essonne et le cadre de vie de ses habitants, Franck MARLIN avait lancé un ultimatum au gouvernement et à Nicolas SARKOZY. Le sénateur Serge DASSAULT avait pris l’engagement de relayer l’opposition des élus auprès du Président de la République, une démarche secondée, par courrier, par votre député. Ils ont été reçus aujourd'hui à l'Élysée.

Le 10 décembre, lors de la conférence de presse organisée à Étampes, qui avait été marquée par la présence de près de 70 parlementaires et élus locaux pour manifester leur opposition à trois projets menaçant l’Essonne et le cadre de vie de ses habitants, Franck MARLIN avait lancé un ultimatum au gouvernement et à Nicolas SARKOZY. Le sénateur Serge DASSAULT avait alors pris l’engagement de relayer l’opposition des élus auprès du Président de la République, une démarche secondée le lendemain, par courrier, par votre député.

 A leur demande, ils ont été reçus aujourd’hui par le plus haut fonctionnaire de la République, Claude GUÉANT, Secrétaire général de l'Élysée.

« Nous lui avons fait part des exigences des élus et des habitants concernés : le retrait du projet de construction du centre technique d’enfouissement de déchets à Saint-Escobille, de celui concernant l’extension du site d’hydrocarbures de Cerny et la suspension de la procédure concernant le déplacement du couloir aérien pour les arrivées à Orly par vent d’Est, en soulignant tant les problèmes de fond, comme leur contradiction avec les objectifs du Grenelle de l'environnement et les dangers en termes de sécurité routière ou sanitaire, que les problèmes de forme. » explique Franck MARLIN.

« Monsieur GUEANT a tout à fait compris notre démarche et le sentiment qui anime les élus du département. Il a d'ailleurs convenu qu'il n'était pas acceptable que les élus soient ainsi mis devant le fait accompli alors que la concertation devait prévaloir. »

Devant les arguments développés, le Secrétaire général de l'Élysée s'est engagé à analyser sans délai chacun de ces dossiers afin de répondre aux attentes légitimes des élus.

« Nous avons d'ailleurs rappelé la nécessité d'une réponse rapide », souligne votre député, en écho à l'ultimatum selon lequel, en l'absence de décision, le mois de janvier serait le mois de la mobilisation.


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