C’est par voie de presse que les élus locaux ont été informés de la réorganisation de nombreux bureaux de Poste du département. Ainsi que le souligne le Président de l’Union des Maires de l'Essonne, les élus ont encore une fois été mis devant le fait accompli.

Une situation et une remise en cause de ce service public de proximité inacceptables pour Franck MARLIN qui donc demandé un moratoire à la Direction de l’Enseigne La Poste et a saisi Fleur PELLERIN, Ministre de tutelle, pour le maintien total des services postaux dans le département.

C’est par voie de presse que les élus locaux ont été informés de la réorganisation de nombreux bureaux de Poste du département. Ainsi que le souligne le Président de l’Union des Maires de l'Essonne, les élus ont encore une fois été mis devant le fait accompli. Une situation inacceptable pour votre député.

« La présence postale en Essonne, et notamment dans les secteurs les plus ruraux où les moyens de transports sont très insuffisants, est un enjeu majeur. À de nombreuses reprises il a fallu se battre pour préserver des bureaux et leur fonctionnement, comme à Maisse, Milly-la-Forêt, Champcueil, Pussay,..

« Déjà, en 2007, les bureaux de Ballancourt-sur-Essonne, Itteville, Saint-Vrain et Vert-le-Petit étaient menacés, et nous étions parvenus à les sauver. Aujourd’hui, ce sont  les mêmes, auxquels s’ajoutent ceux de Mennecy, Le Coudray-Montceaux et Vert-le-Grand qui devraient faire l’objet d’une baisse importante de leurs personnels et des horaires d’ouverture voire des fermetures certaines journées.

« Il en est ainsi pour 31 bureaux sur l’ensemble du département qui en compte une centaine, annexes comprises. Et rien ne garantit que les autres ne seront pas concernés à brève échéance.

« Ce procédé est extrêmement choquant. La moindre des choses aurait été de consulter les élus concernés au préalable. Or tel n’a pas été le cas encore une fois, et je dirais même une fois de trop ! »

François Hollande s’était engagé à garantir la présence des services publics.
Encore de belles paroles !

« La continuité du service postal est une nécessité. Et j’ai encore en mémoire l’engagement numéro 6 de Monsieur HOLLANDE. "Je garantirai la présence des services publics locaux dans le monde rural" disait-il. De belles paroles ! Mais il est vrai qu’à cette époque il était candidat. Aujourd’hui, il est Président de la République, et les renoncements à ses engagements se comptent chaque jour un peu plus ! »

Refusant la réorganisation présentée, et partageant les préoccupations exprimées par les personnels notamment en termes de suppressions d’emplois, Franck MARLIN a donc demandé un moratoire à la Direction de l’Enseigne La Poste et a saisi Fleur PELLERIN, Ministre de tutelle, pour le maintien total des services postaux dans le département.


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