Opposé à la restructuration des permanences de la Caisse Primaire d'Assurance Maladie dans le Sud-Essonne, qui se traduirait par une diminution des horaires d'accueil voire leurs déplacements dans des agences situées à plusieurs kilomètres de leurs lieux actuels, Franck MARLIN a de nouveau demandé au Président de la C.P.A.M. de l'Essonne de reconsidérer ce projet.

Comme il lui avait indiqué déjà en juin dernier, "nos concitoyens craignent  une réduction notable des prestations offertes passant par une diminution des heures d’ouverture des bureaux d’accueil de proximité, pour aboutir à court terme à leur suppression".

"Ces décisions ont été prises sans concertation et en méconnaissance de l’évolution démographique et économique du Sud Essonne" explique Franck MARLIN. "Elles auront une incidence préjudiciable sur le service public rendu à la population, et sont inacceptables en raison de la discrimination sociale qu’elles vont engendrer."

"A l’heure où les communes sont de plus en plus confrontées à des problèmes sociaux complexes, à des restructurations arbitraires, l’allègement des permanences, voire leur déplacement dans une agence située à plusieurs kilomètres du point d’accueil local actuel vont accentuer les disparités et créer de nouvelles ségrégations. Il ne serait pas acceptable qu'une fois encore les plus faibles et plus démunis soient pénalisés !"

"Il est grand temps que les directions des services publics prennent en compte l’évolution réelle de notre territoire qui est en plein essor !", insiste-t-il.

C’est pourquoi, soucieux de la qualité et de la pérennité des services publics, et attaché au maintien des missions assurées avec efficacité par les bureaux de proximité envers des assurés sociaux souvent confrontés à des difficultés sociales et économiques importantes, votre député a réitéré début juillet son opposition à un tel projet.

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