Sur la base du classement réalisé par le journal Marianne, l’activité parlementaire de Franck MARLIN le porte à la 156e place des députés sur les 12 derniers mois, et à la 172e place sur l'ensemble de la législature

La XIVe législature s’est achevée le 22 février dernier à l’Assemblée nationale par l’adoption de nombreux textes, au premier rang desquels le projet de loi sur la sécurité publique.

Il s’agissait principalement de renforcer la présomption de légitime défense et de définir les conditions d’utilisation des armes pour les policiers nationaux.

Ce projet, adopté à une très large majorité, a repris dans son article premier, la proposition de loi déposée en octobre dernier par le député-maire d’Etampes, cosignée par 65 de ses collègues, et qui faisait suite à sa question au gouvernement, présentée dans l’hémicycle au lendemain de l’agression contre des policiers à Viry-Châtillon.

Cette reconnaissance est le fruit d’un long travail mené depuis plusieurs mois avec les forces de l’ordre et leurs représentants.

« Être un porte-parole de ce qui est exprimé par le terrain, c’est ce qui a toujours guidé mon action en tant que député » explique Franck MARLIN.

« Au terme de cette législature, j’ai donc tenu à dresser un bilan de mon activité, estimant qu’il est du devoir d’un parlementaire de présenter de manière détaillée son travail dans son ensemble, en reprenant scrupuleusement la méthodologie qui avait été employée par le journal Marianne, en février 2012, pour établir un classement des députés qui ne se limite pas aux exclamations dans l’hémicycle, histoire de faire apparaître son nom dans le compte rendu et faire du chiffre, ou à la présence en commission.

« Il est vrai que lorsque la commission se réunit pour nommer un Rapporteur issu des rangs de la majorité, ou pour donner des avis sur un rapport de la mission d’information sur les oies cendrées, l’orpaillage illégal en Guyane, l’immatriculation des navires dans le territoire de Saint Martin, la clarification de l’organisation de la manutention dans les ports maritimes, la liaison ferroviaire Lyon – Turin, ou pour nommer des directeurs à Météo France, Voies navigables de France, SNCF réseau ou à la RATP,… ce sont des sujets intéressants mais qui me motivent plus à être présent sur ma circonscription... »

Cette analyse, fidèle à l’activité effective des parlementaires, s’appuie sur toutes les données quantitatives.

Elle prend aussi en considération, de façon objective et rigoureuse, l’intégralité de leurs actes (propositions de loi, amendements, questions orales et écrites,…) en les pondérant en fonction de leur importance : 5 points par rapport parlementaire ; 3 points par présence en commission, intervention en commission, intervention longue dans l’hémicycle et amendement déposé ; 2 points par présence en commission et question orale ; 1 point par intervention courte dans l’hémicycle, amendement adopté, proposition de loi déposée en nom propre ou cosignée, et question écrite.

En appliquant cette même méthodologie, le classement au 13 février 2017 sur les 12 derniers mois le porte à la 156e place sur les 577 députés.

À la 225e place pour la période 2016/2017, 132e pour 2014/2015 et 152e en août 2013. Sur les 12 derniers mois également, Franck MARLIN est 50e pour les questions écrites (qui sont limitées à 52 par an depuis juin 2015), 34e pour les propositions de loi déposées en nom propre, 67e pour les propositions de loi cosignées et 93e pour les amendements déposés.

Sur l’ensemble de ces 5 ans, il a ainsi déposé : 213 questions écrites, 8 propositions de loi en nom propre et 186 avec ses collègues, et 3800 amendements (dont 105 ont été adoptés).

Parmi ces derniers, il a proposé en séance le transfert des crédits prévus pour acheter de nouveaux radars pour les consacrer à l’entretien des routes, premier facteur de mortalité et d’accidents, à l’heure où le gouvernement entend confier à des sociétés privées l’utilisation des voitures radars, fidèle à sa politique de sécurité routière vue sous l’unique prime de la sanction. Cet amendement a été rejeté par le gouvernement et les députés de la majorité.

Il a également posé deux questions d’actualité au gouvernement sur l’économie et l’emploi, ainsi que sur la sécurité, auxquelles s’ajoutent des questions qui lui ont été refusées par son groupe parlementaire (réforme des rythmes scolaires, entretien du réseau ferroviaire et des lignes C et D du RER, effectifs et moyens matériels pour les policiers, difficultés du monde agricole,…) et il est intervenu en Commission du développement durable et de l’aménagement du territoire par le biais de questions orales et écrites sur les inondations de l’été dernier, la hausse des tarifs autoroutiers, les couloirs aériens, le développement de parcs éoliens à proximité d’habitations,…

De surcroît, ces chiffres se bornent uniquement à l’activité à l’Assemblée nationale à Paris. Ils ne font évidemment pas état de l’activité en circonscription.

Car si être député, c’est contrôler l’action du Gouvernement et faire la loi, c’est aussi être à l’écoute des habitants des 69 villes et villages de la circonscription.

Outre les rendez-vous individuels et les 14 permanences mensuelles sur l’ensemble de ce territoire, ce sont plus de 25 000 interventions et échanges écrits qui ont effectués pour accompagner, défendre et soutenir celles et ceux qui ont fait appel à lui.

À cela s’ajoute naturellement tous les dossiers locaux sur lesquels il s’est mobilisé aux côtés des habitants et des élus pour combattre les projets d’aire de grand passage pour les gens du voyage à Chevannes et à Étampes, de construction d’un centre d’enfouissement technique de déchets ultimes à Saint-Escobille ou de création de quais de chargement d’hydrocarbures sur le site de la SFDM à Cerny, pour obtenir des effectifs supplémentaires pour la gendarmerie et la police nationale et la construction d’un nouveau commissariat à Étampes, pour maintenir les classes et les postes d’enseignants dans nos écoles, collèges et lycées, pour protéger notre qualité de vie (couloirs aériens, parcs éoliens,…), pour défendre les services publics et la santé de proximité comme les bureaux de Poste et les centres hospitaliers de Champcueil et Étampes, pour améliorer les dessertes ferroviaires des RER C et D, TER Centre et lutter contre le projet de correspondance sur  la ligne D,…

Sur l’ensemble des cinq années de la XIVe législature

Au 23 février 2017, et selon les chiffres publiés sur nosdeputes.fr, votre député se classe :

  • 173e au classement général, toutes activités confondues, de tous les députés élus au cours de la législature et à la 172e place sur les 577 ayant siégé le plus longtemps.

  • À la 596e place ex-æquo (sur 640) de tous les députés pour les présences en commission (561e ex-æquo sur les 577)

  • 100e de tous les députés (classement identique sur les 577) pour les amendements déposés

  • 85e ex-æquo de tous les députés (82e ex-æquo sur les 577) pour les propositions de loi déposées en nom propre (auteur)

  • 81e de tous les députés (classement identique sur les 577) pour les propositions de lois déposées avec des collègues (cosignataire)

  • 113e ex-æquo de tous les députés (111e ex-æquo sur les 577) pour les questions écrites déposées

  • 563e ex-æquo de tous les députés (528e ex-æquo sur les 577) pour les questions orales

  • À la 593e place (sur 640) de tous les députés (567e ex-æquo sur les 577) pour les « semaines d’activité » (1).

Pour lire l’intégralité de ces classements, député par député : cliquez ici (format PDF, 1,6 Mo)

 


(1) nombre de semaines où les députés ont été relevés présents en commission ou ont pris la parole dans l’hémicycle. Ne sont pas pris en compte : les réunions de groupes, les participations à divers travaux préparatoires, les présences dans les bureaux de l’Assemblée et les participations aux votes (scrutins publics et scrutins solennels).

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