Ce week-end, partout en France, les motards en colère, la fédération française de motocyclisme et le collectif de défense des loisirs verts se sont rassemblés pour dire "stop" au projet de contrôle technique pour les deux-roues moteur et dénoncer la répression routière de plus en plus importante.

À cette occasion, votre député leur a apporté son soutien.

« En tant que motard et parlementaire, j'ai toujours porté une grande importance aux demandes légitimes de la fédération française des motards en colère. Je partage leurs combats.

« Mon engagement contre le contrôle technique des véhicules deux-roues motorisés, comme annoncé par Monsieur le Premier ministre, est intact. Il l'a toujours été. D'ailleurs, l'argument de bon sens utilisé, selon lequel l'état du véhicule deux-roues n'est en cause que dans 0,3% des cas d'accidents, comme l'indique l'étude MAIDS, était l'un des fondements de ma proposition de loi en faveur des véhicules de collections, et principalement les deux-roues, sur le plafonnement de la taxe d'immatriculation et exemption de contrôle technique.

« Je partage aussi leur sentiment sur la préférence accordée aux lobbys économiques au détriment de la sécurité routière. A cet égard, ma position sur la répression routière est très claire : elle ne se préoccupe en rien des véritables causes de la mortalité sur nos routes. »

 


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