« Un candidat qui propose, un député qui agit », tel est le leitmotiv de Franck MARLIN qui n’a pas attendu un seul instant pour interpeler le nouveau gouvernement sur l’ensemble des dossiers qui, pour certains, impactent déjà la qualité de vie des Essonniens et qui, pour d’autres, font peser de lourdes menaces sur l’environnement et le cadre de vie dans le Sud du département.

C’est ainsi qu’il a d’ores et déjà saisi le Premier ministre et les ministres des transports et de l’écologie sur la mise en œuvre des nouveaux couloirs aériens opérée novembre dernier.

« Nous partageons tous la nécessité de procéder à un relèvement des altitudes et de réduire les nuisances sonores des personnes survolées et riveraines des plates-formes aéroportuaires. Et nous savons que ce n’était pas le réel objectif du projet élaboré par la Direction Générale de l’Aviation Civile qui a été soumis à enquête publique fin 2009, sans concertation préalable et au mépris des engagements qui avaient été pris.

« C’est la raison pour laquelle nous avons été extrêmement nombreux parmi les élus nationaux, régionaux, départementaux et locaux, de toutes sensibilités, à dénoncer les modifications proposées et ses implications. Avec le Parc Naturel Régional du Gâtinais Français, nous avons expliqué pendant des mois que ce projet était trompeur et qu’une alternative, visant à amoindrir considérablement les nuisances sonores sans engendrer de déplacement des trajectoires, était possible. Nous avons démontré que les populations alors survolées allaient continuer à subir des nuisances aériennes, que d’autres communes déjà impactées le seraient plus encore, que de nouvelles populations seraient victimes d’un transfert de nuisances et que, par conséquent, la réduction de ces nuisances telle qu’annoncée par la DGAC était très largement surestimée, sans parler de la pollution atmosphérique compte tenu du rallongement des trajectoires.

« Les faits nous ont donné raison, les craintes soulevées se sont vérifiées, et la plus haute juridiction administrative ne nous a pas désavoués, bien au contraire ! »

C’est pourquoi, votre député a demandé au gouvernement que, d’une part, l’arrêté ministériel sur lequel le Conseil d’Etat a émis des doutes sérieux sur sa légalité soit abrogé et, d’autre part, pour que de nouvelles procédures conformes, cette fois, à l’intérêt général et élaborées dans la plus grande concertation soient étudiées.


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